samedi 27 avril 2013

L'OIA n'est pas une remise en cause de l'ONU.





A propos du concept d'OIA.

L'ONU n'est pas notre bouc émissaire, loin de là, il s'agit plutôt de donner à la société civile les moyens d'être "liquide", plus moderne, plus transparent, plus à l'écoute du monde associatif, de ses réseaux, où la société civile pèse autant que l'Etat.
Nous n'avons rien contre les Etats. Bien au contraire. Ces derniers font partie de notre histoire , de notre identité et constituent des points de repère rassurants, ancrés dans nos inconscients par de siècles d'existence et de faits politiques. Ils ne représentent pas une menace pour la démocratie ni pour la transversalité hors frontières mais en sont bien au contraire le paravent.
Avec l'OIA, on peut compter sur l'éradication de l'extrême pauvreté des pays adhérents prévue pour 2023, soit 5 ans après la mise en place de l'OIA, en juin 2018, en symbiose totale avec les objectifs de soutenabilité environnementale et avec les trois piliers du développement durable (économique, social, environnemental) grâce à l'application du principe verticalité/transversalité alors que les organismes officiels se donnent jusqu'à 2030 pour cela.
Le principe de verticalité/transversalité est un principe qui exponentialise les actions. En effet, là où l'ONU évolue parfois avec retard essayant à tout prix de faire fonctionner une verticalité fortement hiérarchisée qui tient mal compte de tout le potentiel issu de la société civile, de ses associations, de ses individus et de ses entreprise, l'OIA qui n'est jamais bloquée par des procédures de vote mais se contente de lancer des initiatives qui vont être suivies jusqu'au bout peut, sans jamais être freinée par un conseil de sécurité quelconque, se permettre d'être efficace et opérationnelle 24h sur 24 et sept jours sur sept (grâce au décalage horaire et au repos salvateur).
Ainsi pouvons nous considérer l'OIA comme la béquille d'une organisation devenue trop vieille qui se sert pour se donner un coup de jeune du principe suivant : un individu = une voix, une association = une voix, une entreprise = une voix, un individu = une voix. Selon le même principe que la coopérative écologique née ce mois d'avril dernier à Paris.
A quoi sert un tel mode de gouvernance ? A égaliser les chances, à se servir de l'efficacité que procure l'absence totale de hiérarchie au sein d'un groupe. Et de quel groupe ne 'agit il pas ? De la société mondiale toute entière…

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