mardi 26 mars 2013

Charte 1. La Charte mondiale de l'eau de l'OIA.









 En rapport avec le forum mondial de l'eau alternatif et officiel. Le forum de l'eau à Stockholm et le prix de l'eau à Evian.
Les Etats doivent prendre des engagements pour renforcer la dépollution des cours d'eau et des rivière. La question du littoral doit aussi être abordée. L'exemple de Marseille est récurrent car il s'agit d'une ville qui expérimente la coexistence entre un milieu naturel protégé , un milieu très urbain et un littoral avec une activité portuaire importante. La ville de Toulon, à proximité de Hyères, milieu naturel protégé également.
Partout dans le monde, un travail sur l'eau a commencé.
Il y a des enjeux cruciaux comme l'assèchement du lac Tchad qui prive d'eau le Tchad, le Niger, le Nigéria et le Cameroun.
Enfin, la question du dessalement de l'eau de mer en priorité autour des Etats qui en ont le plus besoin se pose de manière cruciale. Cette nécessaire opération qui nécessite une mutualisation de moyens financiers, matériels et humains est une étape obligatoire dans la construction d'un monde nouveau avec un partage de richesses pour tous qui se traduit par le développement d'une agriculture extensive pour tous, de type agriculture de subsistance. C'et le point de départ, le pivot de accords de l'OIA. Ainsi, les Pays signataires de la Charte de l'OIA vont prendre des engagements ensemble afin de mutualiser leurs moyens au prorata de leurs possibilités pour pratiquer ce dessalement sur le points du globe où il n'y a pas d'autre solution.
C'est u point d'attaque important également pour remettre à plat certaine vieilles rancoeurs liées à la période de colonisation souvent terminée par des guerres, ainsi qu'à la période de postcolonisation lors de laquelle, le capitalisme des pays occidentaux continué le pillage des ressources ainsi que la désorganisation économique des pays les moins développés. Bien entendu c'et le Sahel qui doit être le premier bénéficiaire de ce grand chantier, en tant que région du monde facilement sujette à la famine et à a désorganisation alimentaire.
Sur le plan diplomatique et géostratégique, une telle prise en charge collective, à l'occasion de laquelle les pays les plus riche, coupables de la colonisation et de l'exploitation qui l'a suivie, prennent leurs responsabilités , ce sont eux qui paient le plus. C'est une façon de réconcilier les Etats entre eux, une façon aussi de prendre ses responsabilités.


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