Les associations du monde entier représentent la société civile, c'est à dire le peuples et les intentions qui les animent. Toutes sont motivées par des objectifs similaires. La défense de droits de l'homme, de l'enfant, la suppression des injustices, de inégalités, de l'exploitation et de toute forme de domination quelle qu'elle soit, la protection de l'environnement , sa préservation , l'harmonie entre l'activité humaine et la nature, le respect de chaque culture et sa préservation. C'et pourquoi nous pensons que l'OIA n'est pas une affaire d'Etats entre eux. C'est une affaire mondiale qui doit d'abord être prise en relais par les associations de tous les pays, même les plus petites. Aussi invitons nous chaque association qui reçoit ce courrier à répondre à notre questionnaire et à donner ses idées afin que nous puissions tous ensemble commencer à écrire ces Chartes que nous proposerons ensuite à nos Chefs d'Etat.
Il est important que l'idée de l'OIA vienne de nous, de la société civile, du peuple du monde entier, de ses associations.
Il est important que collectivement, nous imposions aux chefs d'Etat de tous les pays le devoir de s'intéresser à l'OIA et de mettre la main à la pâte, d'être présents lors de la signature des Chartes et d'aider au financement du déroulement de l'OIA. Cette année là, il faut que le monde entier, citoyens du monde, délégués par une association soient présents afin de se faire connaitre, de créer un sentiment de Fraternité, de participer à l'élaboration finale des Chartes qui à l'issue des trois semaines pendant lesquelles durera l'OIA (du 28 mai au 22 juin 2018) seront signées par les chefs d'Etat ou leurs représentants.
C'est une aventure sans précédent. Bien sûr, nombreuses sont les associations qui ont un siège ou sont représentées au sein de l'Organisation de Nations Unies. Leur travail dans ce cadre là n'est pas à dénigrer bien au contraire de même que l'on peut louer les avancée réalisées par l'ONU depuis sa création. Cependant le travail de l'ONU se fait souvent dans un cadre très formel, très technocratique, sous l'égide des grandes puissance. Avec l'OIA, pour la première fois, ce sont les milieu associatifs et alternatifs qui prennent les devants et les initiative, de quoi initier nos dirigeants aux modes de fonctionnement ascendants et transversaux.
Nous avons prévu que les accords de cette année là feraient mouche dans l'histoire de l'humanité et que chaque année, de nouvelles rencontres OIA pour faire le bilan de ce qui a été réalisé ou signer de nouvelles chartes allaient être organisés. Le cadre français, à fortiori lyonnais n'est pas obligatoire.
Il et au contraire souhaitable que chaque année les rencontre OIA se déroulent dans un nouveau pays, une nouvelle ville, un nouvel environnement à découvrir.
Cependant à Lyon, qui est une ville qui n'a pas encore de carnaval alors qu'elle se bat pour être une ville internationale, nous allons plaider notre cause pour que chaque année après ces accords de 2018, on puisse commémorer cette aventure, réutiliser les locaux prévus à cet effet pour des travaux portant sur le développement, l'environnement et les droits
Ainsi, chaque année pourrions nous célébrer la fête de l'eau en rappel avec d'autres villes qui elles aussi célèbrent cette manne donnée gratuitement sans laquelle la vie ne saurait exister. Par exemple, la ville de Medellin en Colombie, la ville de l'éternel printemps, célèbre chaque année son fameux cours d'eau le Rio Medellin. Chaque habitant pose sur le cours d'eau une bougie allumée. Pourquoi ne pas faire pareil à Lyon sur le Rhône et la Saône afin que les bougies porteuses de voeux se rejoignez à Confluence. Une belle cérémonie, des expositions des prestations artistiques en tous genres, de conférences des expositions, le tout dans un contexte internationalisé, le tout donnant à notre bonne ville de Lyon, un nouvel élan vital auquel d'autres villes comme Chambery, Grenoble, Saint-Etienne, le Puy-en-Velay pourraient être associée. Sans oublier le fameux défilé dupliqué en plusieurs versions mais toujours sur le même thème : l'eau et l'environnement.
Chez Respublica, nous avons prévu que les accords de l'OIA se dérouleraient pour les premiers à Lyon, en bord de Saône , un fleuve sur lequel de gros efforts ont été réalisés en matière d'aménagement et peut être bientôt de dépollution. Ce n'et pas le seul fleuve lyonnais, un peu plus loin, à l'autre bout de Caluire, commune qui fut un lieu important de résistance française sous la deuxième guerre mondiale, où se trouve le premier lieu de déroulement de l'OIA, se trouve la Confluence, le lieu où la Saône rejoint l'autre grand cours d'eau lyonnais, le Rhône, preuve que les grands esprits se rencontrent.
Les Etats épaulés par les associations se réunissent afin d'élaborer des Chartes nouvelles correspondant aux différentes problématiques qui freinent le développement et le bien être des êtres humains sur terre. Bien entendu, ces Chartes ont déjà été travaillées, pensées, réfléchies préalablement par chacun. A l'issue de trois semaines pendant lesquelles vont durer les accords de l'OIA, les représentants de chaque Etat sont appelés à signer ou non les Chartes.
Contenu de l'OIA et groupes de travail.
-Charte 1. La Charte mondiale de l'eau.
-La charte sur l'évacuation des déchets nucléaires.
-La Charte sur l'évacuation des débris de guerre.
-La Charte économique.
-La Charte sur les Droits Humains.
Et après ? La porte et ouverte sur toute les idées pour de nouvelles chartes, de nouveaux terrains d'expérience, de nouveaux combats.
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